D'habitude, nous racontons surtout des aventures riches en sensations fortes et des activités chargées d'adrénaline. Dans cet article, il est question de l'aventure au ralenti de Jörg Knorr. Le journaliste de voyage de Flensburg a parcouru 2000 km au volant de son Piaggio Ape à une vitesse maximale de 50 km/h à travers l'Allemagne. Toujours avec lui : sa reacha SPORT, son kayak et son SUP.
L'idée de l'aventure au ralenti
Découvrir le nord de l'Allemagne sur trois roues. C'est avec ce plan approximatif que Jörg a décidé de monter dans sa Piaggio Ape Classic fin mai 2020 et de rouler presque toujours à plein régime hors des autoroutes, à une vitesse maximale de 50 km/h, vers les rives des fleuves, des lacs et de la mer Baltique. Avec un kayak sur la galerie, une planche de SUP, un vélo pliant, une remorque pour vélo reacha SPORT et du matériel de camping dans la soute, il voulait s'arrêter là où des eaux trépidantes l'attendaient. Varier les plaisirs plutôt que de faire de la route - c'est à peu près ainsi que l'on pourrait résumer les intentions de ce Flensbourgeois. Voici un petit épisode au cours duquel Jörg a parcouru trois fois le trajet entre Lütow et Koserow, sur l'île d'Usedom qui ravit les sens.
Qui est Jörg Knorr ?
Jörg Knorr est journaliste de voyage, photographe et conférencier pour des salons et des événements. Ce natif de Rostock dit de sa propre motivation : "Qu'est-ce qui se passe derrière la ligne plus ou moins marquée où le ciel et l'eau se rejoignent ? C'est ce qui me motive". Pour cela, le photographe explore les paysages maritimes et se déplace avec son appareil photo. Ses aventures se présentent parfois d'elles-mêmes.
Il présente ses aventures et ses voyages sur son site kajaktraum.de. En tant que passionné de sports nautiques, il a été séduit par nos remorques de vélo pour SUP et kayak. Plutôt que de construire lui-même une remorque à vélo, il a opté pour une reacha SPORT avec un bow supplémentaire. Son avis sur la reacha : "Une construction géniale et bien pensée. Super flexible et adaptable à l'utilisation souhaitée. Bon confort de conduite et une excellente qualité de fabrication".
Depuis, la reacha permet à Jörg Knorr de rendre ses aventures moins contraignantes et de découvrir en SUP et en kayak des endroits qu'il n'aurait pas pu atteindre sans elle.
Le voyage à travers le nord de l'Allemagne
A la recherche d'un spot avec Ape et reacha
Je suis à nouveau assis dans mon tricycle, que je dirige maintenant vers Usedom, près de la frontière polonaise. Ma croisière en SUP de Koserow au camping près de Lütow est un peu plus exigeante sur le plan logistique. Sur le camping en question, j'ai laissé le vélo pliant avec sa remorque et je suis maintenant à la recherche d'un lieu de départ approprié pour traverser l'Achterwasser avec l'Ape.
Bodo, un local et membre de l'association portuaire de Koserow, me laisse mettre ma planche à l'eau et s’en va avec un "Ne fais pas de conneries là-bas" qui semble plus amical que critique.
Ce n'est pas pour rien que j'ai choisi Koserow comme point de départ, un cap sud-ouest. Un léger vent arrière du nord-est me donne une impulsion supplémentaire. Environ 12 kilomètres se trouvent devant mon étrave. Se tenir sur la planche, être poussé doucement par le vent et bénéficier ainsi d'une vue panoramique à 360 degrés sur l'Achterwasser a quelque chose de privilégié.
"Il faut en profiter", me dis-je, je ralentis mon allure et, après cinq kilomètres, je me retrouve sur l'île de Görmitz.
Avec un vélo pliant et une reacha
En cas de vent de face, l'Achterwasser pourrait rapidement refroidir un stand up paddler insouciant. D'autres capitaines de loisirs en ont déjà fait les frais, comme me l'a raconté Bodo lorsque j'ai gonflé ma planche dans le port. Un peu moins de trois heures se sont écoulées. Une pause baignade juste avant l'arrivée était encore nécessaire. Sinon, il y aurait eu un risque de surchauffe. Cela n'a jamais fait de bien à aucun organisme.
Les derniers coups de pagaie donnent juste assez de propulsion pour atteindre la plage d'arrivée presque sans bruit. La planche sur la remorque à vélo, les pagaies arrimées et c'est parti pour un retour à vélo vers Koserow. Je dois pédaler pendant environ 18 kilomètres et je transpire beaucoup plus qu'avant le vent sur l'Achterwasser.
Alors que je suis de nouveau devant la clôture du port à Koserow, occupé à ranger ma planche, mon vélo pliant et ma remorque , le hasard veut que Bodo réapparaisse lui aussi. " Mince, déjà de retour ", s'étonne-t-il. Moi : "Jo, ça s'est mieux passé que je ne le pensais". Après un court bavardage, Bodo se frotte la barbe, regarde avec inquiétude le ciel qui se couvre et me propose de passer la nuit dans la maison du club : "Il paraît qu'il y a encore un orage. Tu n'as pas besoin de monter ta tente. Tu peux dormir à l'intérieur".
La fin d'un voyage
Avant, pendant et après mon voyage au ralenti, la remorque reacha a été utilisée à plusieurs reprises et a dû prouver qu'elle me suivait de manière fiable sans se plaindre. Pour faire court : Ce produit est génialement polyvalent et multifonctionnel, notamment grâce à ses possibilités de réglage, et n'a jusqu'à présent montré aucun signe de fatigue. Démontée, elle ne nécessite pas beaucoup d'espace de stockage et peut être montée rapidement sans outils et attelée derrière le vélo. Ma conclusion : elle a du potentiel !
Incontournable pour faire du camping, la reacha SPORT
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